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Une nuit blanche à tousser. Une nuit blanche à en avoir des abdos en béton et la voix rauque.
Un bus dans une heure et cinq minutes. Attendre derrière la porte de son cours d'italien, coincer ma main dans la sienne et filer sur la route, avec un air de musique qui nous transporte.
Jusque chez lui.
Jusque chez lui.
Ce soir on s'en va marcher sur les pavés du Vieux Lyon, quelques bouteilles , des fumées de cigarettes. Beaucoup de sourires, des regards décoiffés, des cendriers qui craquent, des bribes de conneries et boutades. Peut être que quelques shots et moins de tasses de café empêcheront la nuit blanche de reprendre le dessus. Qui rira bien, rira le dernier.
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