dimanche 31 janvier 2010

The grief's always here.

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 Deux heures de football dès le réveil, avec quelques degrés négatifs histoire d'avoir les pieds congelés, les oreilles rouges et les doigts violets. Un ballon au visage, des coups de crampon, des coudes dans l'arcade et j'en passe. Et puis les cours se sont enchainés et on a filé au Starbucks du coin. Un cookie cream et deux chocolats viennois. Y'avait d'la nostalgie et du bonheur pleins les yeux. Et puis samedi est arrivé. Manifestations, monaco, café, crêpe & blablabla. Un tour au cinéma pour que la nostalgie déguerpisse et laisse place au martini. On s'est serré fort et on se les promis. Avant de repartir, moi et les nuggets, lui et les sauces, à travers les longs couloirs du métro.
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