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On ressort les gros manteaux hivernales,les écharpes et les premiers morceaux de gants. Le vent qui nous fouette le visage, les cheveux qui s'intercalent devant nos yeux. On prend un siège de bus avec le chauffage dessous en option, et puis on attend le dernier moment avant de se lever. On attend les premières vacances, pouvoir changer l'heure du réveil, boire des cafés longs enfouis dans des fauteuils de velours, faire des restaus et boire des martinis blancs. Feuilleter des magasines, trimballer des sacs de shopping, revivre.
Ouate ze feuque?
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