.
.
Du lundi bien rempli. Des regards noirs, des kilos tonnes d'encre et de neurones, quelques sourires. Deux, trois rendus, un soupçon de sourire & beaucoup de cigarettes. Je finis la journée de la peinture sur le bout des doigts et la tête emmitouflée sous une chapka. Les heures passent, et quand mardi soir est arrivé, on est sorti bien gentiment. On entend les briquets qui crépitent, des rires. Il était dix huit heures, la nuit était bien tombée. On était là, devant le portail, à enchainer les fous rires de fin de journées. Les plus stupides, mais les meilleurs. Alors je suis montée dans le bus, et encore dans mon impasse, toute sombre, je souriait.
Je me suis couchée tard, le portable vibrait et vibrait. Alors ce matin, quand j'ai sauté du lit entouré de ma couette et que j'ai vu affiché 7:00, j'ai vite avalé un café. J'ai pris les premiers vêtements sortis, un peigne et un coup de crayon mascara. Le croissant et le chocolat c'était au café avec P.
.




Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire